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Dyspraxie

Introduction :

Dans le cadre du cours de dyspraxie donné par madame Jacquet, il nous a été demandé dans un premier temps de choisir un article, un ouvrage ou un reportage sur le sujet, le résumer, expliquer pourquoi l’avoir choisi et ce que cela nous apporte d’un point de vue professionnel.

Dans un second temps, par groupe, il nous a été demandé de prendre connaissance d’un PIA d’un étudiant de Defré, de critiquer ce PIA, de lister les difficultés rencontrées par cet étudiant, de proposer des aménagements raisonnables adaptés et d’enfin formuler un nouveau PIA reprenant toutes ces informations.

Voici mon travail individuel :

J’ai choisi l’article « Le point sur la dyspraxie développementale : symptomatologie et prise en charge », rédigé par Laurence Vaivre-Douret, psychothérapeute.

Voici l'article :

La dyspraxie développementale est un dysfonctionnement neuropsychologique non verbal. Elle perturbe l’action motrice d’un geste intentionnel, sans atteinte lésionnelle neurologique avérée, et ne peut être expliquée ni par un retard mental, ni par un déficit sensoriel, ni par un trouble du développement psychoaffectif. Elle touche la réalisation gestuelle et le traitement des informations visuospatiales.

L’article nous explique la différence entre apraxie et dyspraxie développementale, la voici :

L’apraxie est un trouble acquis qui entraine un manque d’habileté pour accomplir des gestes préalablement appris.

La dyspraxie développementale est un trouble constitutionnel impliquant des difficultés d’apprentissage de tâches motrices ou de gestes non habituels (nouvelle habileté).

Depuis 1994, une conférence de consensus internationale a statué pour recommander l’utilisation du terme TAC (trouble de l’acquisition de la coordination) pour identifier les enfants avec des déficits mineurs de la coordination motrice d’origine développementale. Il apparait selon le DSM-VI (Diagnostic and Statistical Manual of mental disordrers) que le TAC est un « fourre-tout » des troubles de la coordination sans distinction de troubles spécifiques de la dyspraxie, rendant celle-ci difficilement compréhensible au niveau de sa nature et des mécanismes en jeu.

Des travaux cliniques ont tenté de classifier différents types de dyspraxies :

  • La dyspraxie idéatoire : Trouble de la succession chronologique des différentes étapes dans la réalisation du geste pour manipuler l’objet.

  • La dyspraxie idéomotrice : Trouble de l’organisation du geste moteur en l’absence de manipulation réelle de l’objet (faire semblant de, imiter des gestes…).

  • La dyspraxie visuoconstructive : Trouble qui se révèle dans les activités d’assemblage et de construction.

  • La dyspraxie visuospatiale : Trouble de l’organisation spatiale et la structuration spatiale (reproduction de dessins…).

  • La dyspraxie de l’habillage : Difficultés pour s’habiller seul.

  • La dyspraxie bucco-linguo-faciale : Difficultés pour réaliser les programmations motrices telles que souffler, siffler, tirer la langue…

Ces travaux font très peu d’investigations dans les évaluations visuoperceptives et/ou visuospatiales ce qui ne permet pas de mettre en évidence la spécificité de la dyspraxie visuospatiale. De plus, la limitation des choix des tests utilisés dans ces travaux ne permet pas de mettre en évidence les comorbidités et les troubles neurologiques mineurs associés à la dyspraxie développementale qui permettraient de mieux comprendre sa typologie et la nature des troubles.

Voici les symptômes retrouvés dans l’article :

Jusqu’à 4 ans, le développement moteur de l’enfant dyspraxique est acquis. L’enfant présente un retard notable pour les coordinations visuomanuelles, les manipulations de cubes, les encastrements, le graphisme, le coloriage, la copie de dessin, les praxies bimanuelles alors qu’il comprend bien la tâche. Il est souvent lent, maladroit, peu autonome, désordonné, peut avoir une instabilité posturale, a tendance à fuir les taches. Il a des difficultés pour manger seul, s’habiller. Il confond le côté gauche et le côté droit, le devant et le derrière. Il a des difficultés pour les apprentissages d’habileté motrice comme pour le tricycle, le vélo, la natation.

À partir de 4 ans, l’équilibre statique ou l’équilibre dynamique peuvent être touchés. L’intégration visuomotrice graphique peut avoir un retard notable. Les praxies manuelles sont en échec. Les gnosopraxies digitales sont souvent en échec pour les doigts, ainsi que parfois les praxies buccofaciales. Difficulté dans l’écriture (ratures, lenteur). Mauvaise intégration spatiale du corps (droite/gauche). Les gnosies tactiles digitales sont en échec en cas de dyspraxie idéomotrice. Le quotient intellectuel de l’enfant dyspraxique est généralement supérieur à la moyenne, mais son QI verbal est souvent supérieur d’au moins 12 points de son QI de performance. Plus son QI global est élevé plus il va compenser sur le mode verbal. Un enfant avec un QI supérieur réussit à compenser des difficultés de structuration visuospatiale, mais restera avec des difficultés visuoconstructives. L’attention visuospatiale est souvent en échec au niveau de l’exploration spatiale. Au niveau oculomoteur, il peut y avoir des anomalies de poursuite horizontale et verticale sous une forme saccadique avec décrochage. En cas de dyspraxie visuospatiale, il a des difficultés pour copier des formes complexes. Difficultés dans les habiletés motrices pour découper, coller…

Sur le plan comportemental, l’enfant dyspraxique est conscient de son échec devant la tâche. Il dépense beaucoup d’énergie pour réaliser sa tâche et compenser son trouble ce qui peut générer fatigue, lenteur, perte d’estime de soi, anxiété, tristesse, état dépressif, isolement.

Par la suite, l’article nous explique l’impact de la dyspraxie sur l’apprentissage scolaire.

L’impact des difficultés d’apprentissage va dépendre du type de dyspraxie et la présence d’un ou plusieurs autres troubles associés à la dyspraxie. La lecture est hésitante, lente avec des confusions de direction de lettres. L’écriture est irrégulière, déformée, sans respect de la ligne, avec une mauvaise prise du crayon et une lenteur d’exécution. La copie de texte est laborieuse, les cahiers sont peu soignés. En arithmétique, il a des difficultés (à se repérer avec parfois des sauts de mots ou de lignes) pour poser et résoudre des calculs simples. En géométrie, il est perdu pour se représenter la structuration spatiale de la figure géométrique. Pour la compréhension de consignes écrites, il est également en difficulté pour se représenter la structuration spatiale générale du texte.

Le diagnostic : Il est important d’utiliser tous les résultats des tests d’évaluation standardisés pour aboutir au diagnostic de dyspraxie. Il est indispensable que des tests interdisciplinaires soient réalisés pour établir le diagnostic le plus précis. Intervention d’un neuropsychologue ou d’un neuropédiatre, examens cliniques, examens psychologiques, enquête auprès des parents pour connaître les activités quotidiennes de l’enfant (au niveau alimentaire, en matière d’habillement et sur ses activités ludiques et scolaires), examen orthophonique, examen ophtalmique, examen orthoptique, examen neurovisuel.

Voici quelques explications sur la thérapie :

La thérapie d’un enfant dyspraxique s’organise au cas par cas. En fonction du ou des types de dyspraxie qui ont été diagnostiqués et des troubles associés éventuels.

Ce seront essentiellement des mesures de rééducation sensorimotrice et psychomotrice, de rééducation de la cognition, de la structuration spatiale et l’abord des difficultés affectives.

La prise en charge en rééducation psychomotrice est essentielle surtout si l’enfant est jeune. Des approches thérapeutiques de type sensorimoteur ou cognitivomoteur peuvent être proposées. Une prise en charge ergothérapique peut également être proposée. L’orthoptie peut-être envisagée. Un suivi par un psychothérapique peut être utile en cas de perturbation affective.

En conclusion, la dyspraxie développementale est un trouble du geste intentionnel qui vise un but à atteindre dont la planification et/ou la programmation du mouvement sont perturbées en amont de l’exécution du geste, essentiellement au niveau de l’intégration sensorimotrice et/ou visuospatiale. Le trouble peut affecter des gestes de nature différente : dyspraxie idéomotrice, visuospatiale et/ou visuoconstructive, de l’habillage, dyspraxie globale (dyspraxie + TAC + comorbidité).

La dyspraxie développementale peut constituer un fardeau psychologique pour l’enfant et sa famille, car avant son diagnostic, la famille ne comprend pas ce qui se passe avec l’enfant et ce dernier se rend compte progressivement de ses difficultés et de ses échecs par rapport aux autres enfants.

Le diagnostic d’une dyspraxie développementale a souvent un effet thérapeutique immédiat, car il soulage les parents et l’enfant en leur permettant de comprendre pourquoi il y avait un dysfonctionnement. 

Choix du chapitre et rôle de l’orthopédagogue à travers celui-ci :

J’ai choisi cet article, car d’une part je le trouvais intéressant et d’une autre part, car il appuie et confirme ce que nous avons appris lors du cours. De plus, l’auteure est une professeure des Universités en neuropsychologie du développement, mais également une psychologue clinicienne, neuropsychologue, psychothérapeute et psychomotricienne, ce qui me rassure quant à la fiabilité de l’article.

Cet article, tout comme le cours de madame Jacquet, nous explique qu’il existe différents types de dyspraxies. En tant qu’institutrice et future orthopédagogue, il est très important de connaître les différents troubles de l’apprentissage et surtout d’en connaître les premiers signes afin de prendre en charge l’enfant et de mettre des aménagements raisonnables en place pour l’aider à apprendre dans les meilleures conditions possible.

Il est donc intéressant en tant qu’orthopédagogue de connaître les différentes dyspraxies afin d’apporter une aide bénéfique à l’enfant. En effet, l’orthopédagogue peut conseiller l’enseignant sur les aménagements à mettre en place en classe et d’informer les différents professeurs sur les détails pour lesquels il ne faut pas être trop exigeant. Par exemple, il est important d’informer le professeur de gymnastique quant à une dyspraxie d’habillage ou d’informer l’enseignant sur le fait de ne pas être trop exigent pour le soin et l’écriture.

Grâce au cours et à l’article que j’ai pu lire, je comprends mieux ce qu’est la dyspraxie et je pense maintenant être capable de reconnaître un enfant atteint de dyspraxie. En effet, l’orthopédagogue peut repérer les premiers signes d’un trouble de l’apprentissage et il peut proposer/conseiller aux parents de faire passer une série de tests à l’enfant. Ces premiers signes sont expliqués dans mon résumé, par exemple la difficulté à être ordonné (beaucoup d’affaires sur le banc, cartable en désordre), la maladresse, la difficulté à manipuler ou encore une grande lenteur.

Il est également très important en tant qu’orthopédagogue, mais également en tant qu’enseignant, de savoir qu’un enfant atteint de dyspraxie est conscient de ses difficultés et de ses échecs face à une tâche. Le rôle de l’orthopédagogue est alors de redonner confiance à l’enfant, de souligner ses efforts, de le motiver et de le rassurer.

Sources :

  • Jacquet, E. (2020). Introduction à la dyspraxie. HE2B, Defré.

  • Vaivre-Douret, L. (2008). Le point sur la dyspraxie développementale : symptomatologie et prise en charge. Contraste. Édition ÈRES. En ligne : www.cairn.info/revue-contraste-2008-1-page-321.htm

Voici le travail de groupe :

Ce travail est réalisé par Debliquy Emeline, Deltour Julie, De Coster Manon, Hella Bridget et moi-même.

Profil analysé

Le profil analysé est donc celui d’un étudiant avec une dyspraxie visuo-spatiale et constructive (difficultés motrices du globe oculaire ) ainsi qu’avec des troubles de la mémoire de travail.

 

Quelles sont les difficultés « types » rencontrées par ce type de dyspraxie ainsi que par un trouble de la mémoire de travail ?​​

 

  • Présence d’un trouble de la notion d’espace : ne se retrouve pas dans l’environnement, pas à l’aise avec les gestes ;

  • Présence d’un trouble dans l’organisation du geste, trouble du regard, trouble de la construction de certaines composantes de la spatialisation ce qui impacte la lecture (les yeux ne suivent pas les phrases = lecture peu fluide), l’écriture, la maitrise des mathématiques (dénombrement, géométrie, calcul écrit) et provoque une lenteur généralisée dans les gestes, un problème de calcul mental, une confusion des lettres visuellement proches et des sons complexes. L’orientation spatio-temporelle est compliquée (se repérer dans une semaine, une année…), il est maladroit et donne le sentiment de ne pas se concentrer ;

  • Difficultés dans les activités d’assemblage et de construction ;

  • Difficultés motrices : Manque d’habileté dans les sports, difficultés à découper, colorier, dessiner, écrire (dysgraphie), difficulté à organiser le travail àdécomposer les activités proposées en tâches plus simples et complexifier petit à petit, laisser + de temps, activités graphiques accompagnées (mises en place de tracée déjà réaliser, etc.), tutorat (permet la mise en avant -estime de soi), utilisation de l’ordinateur ;

  • Difficultés dans l’écriture : Écriture lente, fatigante ou illisible, mauvaise organisation dans la page, sauts de lignes… àréduire les quantités d’écrits demandés, textes à trous, ordinateur, adapter le support d’écriture (plan incliné), photocopies, dispenser ou adapter les activités trop complexes (réalisation de cartes, schémas, dessins) ;

  • Difficultés en mathématiques : usage maladroit des instruments de géométrie + difficultés à réaliser calcul écrit et mental àéviter les tableaux à doubles entrées, supports favorisant la mémorisation et le repérage, calculatrice, ordinateur ;

  • Difficultés de lecture : lenteur, fatigabilité, se perd dans le texte, erreurs d’orthographes d’usage àprésentation claire et aérée, augmenter les interlignes et caractères, marquer le début des lignes avec des puces.

 

Que peut-on garder ou critiquer du PIA actuel ?

 

Au niveau des aménagements matériels

À garder :

  • Lui donner les notes en avance, permettre l’utilisation de la calculette

Critique :

Lui laisser utiliser du papier quadrillé nous semble être une aide minime. Peut-être accordé à la demande de l’étudiant ou à la suite d’une décision du SAA.

 

Propositions :

  • Faire ses examens sur un ordinateur àutilisation généralisée de l’ordinateur

  • Lui installer des applications et des logiciels permettant de réaliser les exercices « écrits » types schémas, dessins, calculs d’échelles…

  • Prévoir des outils permettant de mettre l’ordinateur en parallèle du tableau (pour éviter les changements de perspectives, d’angles de vue.

 

Au niveau des aménagements pédagogiques :

À garder :

  • Adapter la quantité et complexité

  • Utilisation d’outils permettant de réécouter les cours

  • Examen géographie mise en évidence d’éléments àpermettre l’agrandissement

  • Adaptation pour les problèmes d’espace et d’orientation àoui, mais précisément : Préférer une salle plus petite pour la psychomotricité en évitant l’utilisation/la manipulation de trop d’objets.

Pour la piscine : demander à l’élève lui-même s’il a besoin d’adaptations pour ces cours.

 

Critique :

Un « accompagnement » personnalisé assuré par une personne physique peut, d’après certaines recherches[1], faire basculer l’élève dans la dépendance, l’infantilisation. Une aide est bénéfique lorsqu’elle répond à un besoin préalablement identifié. Ici encore nous conseillerions d’accorder l’accompagnement physique de l’élève suite à une demande de ce dernier.

Propositions :

  • Coordinatrice, orthopédagogue faisant le lien entre les différents professeurs-intervenants. Personne ayant le rôle d’organisatrice pour le matériel et la répartition des tâches (ex. : création, avec l’élève, d’une « to-do-list » pour permettre plus d’autonomie) ;

  • Pas d’écriture cursive ;

  • Numéroter les pages ;

  • Alléger la matière de certains cours. Alléger la quantité de matière, viser l’acquisition de la compétence en évitant la pluralité des exercices « redondants ». Aller directement à l’objectif pour éviter de fatiguer l’élève avec un trop grand nombre d’intitulés et beaucoup de temps « perdu ».

 

Au niveau des aménagements du temps :

À garder :

  • Laisser plus de temps àoui, mais en adaptant en fonction du besoin spécifique à telle matière ou telle compétence. Que cela soit un prolongement pensé ;

  • Utilisation de l’ordinateur ;

  • Lui permettre de se préparer à certains cours qui demandent une grande prise de notes à son domicile ;

  • Préparation écrite avant les examens écrits.

 

Critique :

 

Laisser une semaine de plus à l’élève pour chacun de ses travaux revient à ralentir parfois son apprentissage inutilement. En effet, il peut avoir besoin de temps en plus pour certaines tâches, mais pas pour d’autres. Cela reste valorisant pour lui de le laisser être dans les temps pour ses autres travaux. Lui laisser du temps supplémentaire non nécessaire peut également l’exclure socialement, car il ne partagera pas les mêmes échéances que ses pairs.

 

Au niveau des aménagements de la forme :

À garder :

  • Permettre l’utilisation d’un brouillon

Propositions :

  • Proposer un canevas tout fait, il n’a plus qu’à remplir (si informatisé) ;

  • Indices de repérage pour s’orienter dans l’espace (indices sur la feuille, aux difficultés de marge…).

 

Au niveau des autres aménagements :

À garder :

  • Temps supplémentaire d’adaptation à l’environnement pour pouvoir s’y retrouver (dans les lieux nouveaux en intérieur ou en extérieur).

 

Au niveau des aménagements sociaux :

Propositions :

  • Sensibilisation : Expliquer (avec son accord) ou lui permettre d’expliquer le trouble de la dyspraxie à l’ensemble des autres étudiants. Cela peut encourager l’entraide.

 

 

Difficultés rencontrées sur le campus de Defré ainsi qu’au niveau des UE + aménagements raisonnables adaptés.

 

Difficultés pouvant être rencontrées par rapport à l’infrastructure DEFRE :

Le bâtiment est construit sur plusieurs étages, les indications peuvent manquer de clarté pour indiquer les locaux, les escaliers et provoquer des difficultés à s’orienter.

Difficultés pédagogiques et leurs aménagements possibles :

Nouveau PIA :

Nous avons construit notre PIA tout au long de ce travail. Nous terminons donc par ce dernier point en structurant certaines des différentes informations reprises plus haut en différentes parties. Le manque de certaines informations concernant la section et les professeurs ainsi que l’absence de l’anamnèse de l’élève nous freinent quant à l’élaboration d’aménagements totalement individualisés.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Conclusion :

 

Durant ce travail, nous avons appris à faire preuve d’originalité afin de proposer des aménagements raisonnables adaptés à un trouble et adaptables à un profil. Néanmoins, nous n’avons pas repris toutes nos idées dans le PIA final. En effet, nous pensons que certaines idées peuvent être mises en place par les différents professeurs en fonction de leur programme et de leurs disponibilités et n’ont pas à être imposées.

Nous pensons qu’un axe temporel manque à ce PIA. Nous trouverions cela intéressant d’ajouter une rubrique dans laquelle les différents acteurs intervenant dans la rédaction du PIA établissent des objectifs hebdomadaires, mensuels ou annuels avec l’élève. Ils proposeraient également des échéances aux termes desquelles un colloque est organisé afin de prendre conscience des nouveaux acquis et établir de nouveaux objectifs.

La rédaction d’un PIA nous parait indispensable lors de l’accompagnement d’un élève qui présente de telles difficultés. 

 

Sources :

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